Analyse de la Darwin
Pour commencer, nous avons fait une analyse technique de la Darwin d’origine. Cette première étape a permis de mieux comprendre les choix techniques effectués à l’époque de sa conception et d’identifier les points clés nécessitant des améliorations ou des adaptations aux standards actuels.
Structure mécanique
La Darwin repose sur une structure en tiges métalliques et en pièces imprimées. Elle est novatrice pour l’époque mais présente certaines limites :
Rigidité : Les tiges filetées donnent une certaine stabilité mais sont susceptibles aux vibrations, surtout à haute vitesse.
Assemblage complexe : Le montage demande de nombreux ajustements manuels pour aligner correctement les axes.
Système électronique
L’électronique d’origine de la Darwin est basée sur des composants aujourd’hui dépassées, comme certaines cartes Arduino et RAMPS.
Compatibilité limitée : Ces anciens composants offrent moins de fonctionnalités et sont plus difficiles à programmer.
Fiabilité : Certains circuits ne disposent pas de protection avancée contre les surchauffes ou les courts-circuits.
Plateau d’impression
Les technologies de chauffage d’époque rendent la montée en température lente.